Les Forums Du Lycée Ibn Tofail

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    Résumé de la boite à merveille

    samah
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    ÇáÚãÑ : 33
    ÊÇÑíÎ ÇáÊÓÌíá : 09/04/2007

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    ãõÓÇåãÉ  samah ÇáÅËäíä ÃÈÑíá 30, 2007 6:30 am

    [center]Chapitre I
    Le narrateur maintenant adulte, se souvient de son enfance. Il habite avec sa famille Dar Chouafa, au fond d'une impasse. La maison porte ce nom parce que une voyante y habite. Il se lève de bonne heure pour aller au M'sid, situé à la porte de Derb Noualla et dont le fqih est un grand maigre, barbu et coléreux. L'enfant se sent seul. Il a un penchant pour le rêve et imagination ; aussi sa tête est-elle peuplée d'histoires fabuleuses.
    Le narrateur redoute d'aller au bain maure qu'il considère comme l'enfer. Il aime courir dans le Derb, et surtout vider sa Boite à Merveilles. Le lendemain, la mère raconte les disputes qui ont lieu dans le bain maure.
    Cette femme soutient devant les voisines que les siens sont d'origine nobles et qu'ils sont les descendants du prophète. Une fois, au cours d'une dispute avec Rahma, elle profère à l'encontre de sa voisine des invectives violentes.

    Chapitre II
    Le narrateur redoute le mardi car il doit, comme tous les écoliers du M'sid, réciter les chapitres de Coran appris depuis l'entrée à l'école. Ce mardi, de retour à la maison, Lalla Aicha, une ancienne voisine de la famille, conseille à la mère qui se sent malade de se rendre au sanctuaire de Ali Boughaleb pour conjurer (=écarter en priant) le mauvais œil qui a frappé son fils, en lui faisant boire l'eau miraculeuse de ce lieu saint. Arrivés au mausolée, les deux femmes se mettent à supplier en épluchant leur série de plaintes et de problèmes, devant le catafalque du saint. Pendant que la proposée au tombeau fait des prières à la faveur des deux femmes, un chat donne un coup de griffe au narrateur, le lendemain, le garçon, blessé, ne va pas au M'sid ; cela rend heureux. En se réveillant, après le départ de son père, l'enfant entend les salutations et les souhaits d'usage entre les voisines (le cérémonial matinal). Le narrateur se régale avec deux beignets que la voisine Fatma lui apporte.
    Après, Driss le teigneux, apprenti du père, vient pour faire les commissions du ménage. Mais ce qui réjouit le narrateur c'est le petit éléphant en verre (un gros cabochon) que lui offre Rahma. Il décide de le ranger dans sa boite à merveilles.

    Chapitre III
    Après deux jours et demide repos de convalescence, le narrateur va au M'sid, le vendredi dans l'après midi. La fin des cours est un moment de délivrance et de soulagement pour lui. De retours à la maison, le garçon est ébloui par une lampe à pétrole dans la chambre de Fatma Bziouya. Après le dîner, la mère demande à son époux d'acheter une lampe pareille. Le jour suivant. Il l'apporte.
    Un événement imprévu se produit : Zineb disparaît lorsqu'elle accompagne sa mère à un baptême. Toutes les femmes du quartier viennent réconforter sa mère. Elles se mettent à pleurer et à se lamenter sur leurs misères. Mais cette disparition réjouit le narrateur qui n'aime pas la fillette. La mère de ce dernier se dirige en compagnie de Fatma Bziuoya vers Moulay Idriss pour le prier de venir en aide à la famille de la disparue. Les deux femmes la retrouvent dans un asile.
    Le jeudi suivant, Rahma organise un repas pour les pauvres, en guise de remerciements à Dieu. Le père de Kanza fait venir une horde (=groupe) de mendiants. Après le départ des chemineaux, Rahma invite les voisines et leur sert des mets délicieux. Le narrateur mange avec Zineb. Le soir, le garçon est triste. Il vide alors sa Boite à Merveilles et se met à rêver.

    Chapitre IV
    Dans les premiers jours du printemps, le narrateur et sa mère vont rendre visite à lalla Aicha, amie de celle-ci. Les deux femmes passent leur temps à débiner (=critiquer une personne de façon malveillante) les gens. Mohamed joue avec les enfants des voisins en inventant des scènes de ménage et de mariage. Les jeux se terminent dans la dispute. Le retour de son mari Moulay Larbi, plonge Lalla Aicha dans la consternation (=stupéfaction, abattement dû à l'annonce d'un événement malheureux soudain) : elle parle d'un pacha. Soudain, elle se met à pleurer ; et la mère la console. A la tombée de la nuit, le père vient chercher le narrateur et sa mère. Le jour suivant, le vendredi, la mère révèle au père la cause du chagrin de Lalla Aicha : son mari s'est disputé avec son associé. Malgré ses plaintes, la victime n'a pu faire justice ; pire encore, c'est l'arnaqueur Abdelkader qui a obtenu gain de cause.
    Le narrateur est surtout occupé par sa Boite à Merveilles qui lui permet de se soustraire (=retirer quelqu'un d'un milieu, le faire échapper à une influence) aux anxiétés de la vie. Mais il y a aussi les récits de l'épicier Abdallah. Par une soirée d'hiver, le père raconte à sa femme l'histoire d'Abdelleh et de ses récits. L'épicier, qui est un homme énigmatique, a peu de clients mais beaucoup d'amis. Il a aussi des ennemis qui cherchent à lui nuire. Il suscite tantôt l'antipathie des uns, tantôt la sympathie des autres. Une fois deux hommes, Abdenbi et Lahbib, se dispute car le premier calomnie (=atteindre dans la réputation par de fausses accusations) l'épicier alors que le second soutient qu'il est un saint.

    Chapitre V
    Ce mercredi, le maître d'école est heureux et gentil avec les écoliers. La raison de son bonheur est l'événement de L'Achoura, occasion pour la réfection de l'école. Les enfants sont libérés pour le reste de la journée. Le narrateur exulte. Cette joie est modifiée par l'absence de la mère, qui est partie avec lalla Aicha.
    Lorsque la mère est de retour, elle chuchote aux voisines l'histoire de son amie. Moulay Larbi, ruiné par le procès rendu en faveur de son ennemi, sa femme vend tous les bijoux et meubles qu'elle possède pour que celui-ci puisse s'installer dans un nouvel atelier. Au moment où la mère achève la relation de son récit, un hurlement déchirant s'élève. Une vielle esclave informe les femmes que Sidi Mohamed ben Tahar, un coiffeur de son état, vient de mourir.
    La mère va présenter ses condoléances à la femme du défunt. Le narrateur l'accompagne pleureuses et de l'épouse endeuillée. Lorsqu'il revient chez lui, le narrateur songe à la mort et à l'enterrement. Pour le consoler, le père lui raconte une histoire afin de lui faire comprendre que certains morts sont accompagnés d'anges au paradis.
    L'enfant sombre pourtant dans une tristesse profonde ; il pense qu'il va mourir et se met à imaginer son propre cortège funèbre. Il s'endort en faisant des rêves. En se réveillant le matin, il est dispensé d'aller à l'école coranique et il est gratifié d'un beignet. Laissé de suivre ses activités journalières des femmes, il s'occupe à réciter le Coran avec
    ardeur. Il arrête sa psalmodie et sort sur le palier lorsque sa mère lui offre une chaînette de cuire. Mais le chat amaigri de Zineb lui vole la chaîne qu'il a nettoyée avec une grande application et s'enfuit. Croyant que c'est la fillette qui l'a chargé de la lui voler. Il se précipite alors sur elle ; et une violente dispute éclate les deux ennemis.

    Chapitre VI
    Huit jours avant la fête de l'Achoura, le Msid est nettoyé et enduit à la chaux par les écoliers. Seuls les plus grands sont admis à cette tache ; cela déçoit le narrateur, Mais le jour suivant, il est nommé chef de l'équipe qui doit nettoyer le sol. Le soir il revient à la maison fatiguée mais se vante devant ses parents de ses exploits.
    Le matin, sa mère le retient d'aller à l'école coranique : elle compte l'emmener avec elle pour lui acheter les vêtements de le fête. Il en saute de joie et se met à jouer au chevalier redresseur de torts.
    Après une courte réprimande, sa mère l'emmène avec elle. La chouafa demande à la mère de lui apporter de tissu. Chemin faisant, la mère rencontre une voisine de lalla Aicha. Elle rapporte que l'homme ruiné s'est remis sur ses pieds.
    Les éclats des tissus et exposés dans les boutiques de kissaria ravissent le narrateur. La mère achète une cotonnade blanche, un gilet pour le narrateur ; puis une satinette pour la Chouafa. En rentrant, le garçon fait des grimaces à Zineb ; alors sa mère le bat, il éclate en sanglots. Abandonné dans un coin, il rêve de devenir prince galant et puissant. Mais pour ne pas déplaire davantage à sa mère, il mangea à contrecoeur la viande aux navets. Au cour de déjeuner, ils entendent chanter lalla Khadija, l'épouse du vieux Sidi Othman et sorti de bonne heure pour aller faire des commissions à la jouteya. Il y a une foule de clients devant la boutique du boucher. Impatient, le vieil homme jette des boutades désobligeantes au boucher. Ace moment Si Othman donne un coup de pieds à un chien qui s'approche de lui ; la bête s'empare de babouche qui a saute et s'enfuit. L'homme poursuit le chien qui récupère son bien. De retour devant la boutique, il trouve le boucher et les marchands de légume plongés dans le sommeil. Il revient chez lui sans provisions, et offre à sa femme une rose pour la calmer. Cette dernière le maltraite.
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    ÊÇÑíÎ ÇáÊÓÌíá : 09/04/2007

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    ãõÓÇåãÉ  samah ÇáÅËäíä ÃÈÑíá 30, 2007 6:33 am

    Chapitre VII
    Les préparatifs de l'Achoura commencent. Les femmes s'achètent des tambourins et des bendirs, deux jours avant la Achoura. Le père achète au narrateur une trompette. Il ne tarde pas à faire résonner l'instrument quand l'écolier Hammousa, envoyé par le fqih, vient le chercher : on a besoin de lui pour l'équipement des lustres. Les écoliers s'activent à la besogne comme des fourmis. Ils terminent le travail avant le coucher du soleil et retournent chez eux.
    L'enfant trouve sa mère ennuyée car le pétrole de la lampe s'est épuisé. Elle prie Driss El Aouad de lui en apporter. Cette nuit, le garçon dort bercé par son bonheur : son père lui fait part de son intention de l'emmener avec lui demain au souk pour qu'il choisisse ses jouets.
    Le matin, après le repas, le père et son fils partent vers le souk. Ils achètent des jouets, un cierge avant de se rendre chez le coiffeur. Le narrateur n'aime pas cette personne diabolique qui le circoncirait un jour. Il y a des clients qui viennent demander au barbier des remèdes pour leurs maladies. Après de longues discussions et la saignée d'un client, le coiffeur rase la tête du narrateur et la lui blesse.
    De retour à la maison, le garçon mange vite afin de pouvoir jouer avec Zineb et d'autres enfants jusqu'au coucher du soleil. Après un bain douloureux, il mange et s'endort.
    A Trois heures du matin, sa mère le tire d'un sommeil doux, il s'habille des vêtements neufs et se dirige vers le Msid et se chausse de ses babouches neuves. Dans la rue, le père lui donne cinq francs et un cierge pour le fqih. Dans le Msid éclairé, les écoliers psalmodient de Coran avec ferveur : aujourd'hui, ils fêtent la Achoura. A cette occasion, le fqih accorde à ses disciples trois jours de vacances.
    Après le déjeuner à la cour duquel il s'est régalé de gâteaux, le père emmène avec lui le narrateur au sanctuaire Moulay Idriss pour accomplir des prières. L'enfant passe l'après-midi à écouter les récits sans tête ni queue de Lalla aicha qui rend visite à sa mère. Elle dit que les affaires de son mari prospèrent. Au moment où la visiteuse veut lui confier un secret, la mère envoie son fils jouer sur la terrasse. Le soir, la femme part.

    Chapitre VIII
    Les insectes envahissent la maison, à cause de la chaleur, les écoliers n'étudient plus dans le Msid ; ils déménagent dans un petit sanctuaire abritant la tombe d'un saint situé non loin. Alignés derrière le fqih, ils font leurs prières dans ce lieu. La bienveillance inhabituelle du maître et le changement de décor ont un effet avantageux sur le narrateur. Le père est fier de ces progrès. Mais l'enfant ne désire pas devenir un savant ; il apprend studieusement uniquement pour faire plaisir à ses parents. Au cours de la récitation, son imagination erre ailleurs.
    Un lundi, le père annonce son intention de se convertir dans la fabrication des haïks à la place des djallabas. Le déjeuner fini, l'enfant est préoccupé par la comparaison des bijoux aux fleurs, comparaison qui fait rire ses parents. Il plonge dans une réflexion sur les fleurs et les bijoux. Pendant ce temps sa mère échange des propos avec Fatma Bziouya. Après la prière de l'Aassr, le père emmène sa femme, Fatma Bziouya et son fils au souk dans le but d'acheter des bijoux à sa femme. Le père se dispute avec un courtier de bijoux. Ayant perdu les traces du père, le narrateur, sa mère et la voisine rentrent à la maison. Lalla Zoubida et son fils pleurent en attendant le retour de Si Abdeslam.
    A la tombée de la nuit, le père revient apportant les bracelets. La mère, les considérant comme un signe de mauvais augure (=défavorable, mauvais signe), les reçoit à contrecoeur. Cette nuit, le narrateur fait un cauchemar. Lorsqu'il se réveille le matin, le père le dispense d'aller au Msid. Il garde le lit toute la journée. Lalla Aicha vient leur rendre visite. Après que la mère a abandonné la mésaventure du souk. La visiteuse l'informe que son mari l'a abandonnée et épousé la fille du coiffeur Abderrahman. Soudain le narrateur se sent mal et s'endort.

    Chapitre IX
    Le narrateur se revivifie le soir du jour suivant ; mais il a encore mal. Les parents en sont affligé. Après un dîner triste, le mari informe sa femme qu'il est ruiné .Il fait part de son intention de travailler comme ouvrier moissonneur dans les environ de la ville.
    Le matin, le père part. l'enfant éprouve le vide autour de lui, même s'il se sent mieux. Fatma Bziouya lui apporte un boisson à la menthe sauvage, qu'il boit de mauvais gré. Après le déjeuner, la mère sort pour aller rendre visite à son amie Lalla Aicha ; le narrateur reste dans son lit. Pour tromper l'ennui causé par l'affreuse attente du retour de sa mère, le garçon vide sa Boite à Merveilles; mais les objets qu'elle contient lui inspirent le chagrin. Le soir, bercé par les bruits de l'orage le son d'une flûte mystérieuse, il dort avec peine.
    La mère le réveille et lui promet une omelette qu'il aime beaucoup. Elle l'emmène avec elle au sanctuaire Sidi Ahmed Tijani pour se recueillir. Après, ils se dirigent vers la maison de Lalla Aicha. Les deux ont l'intention d'aller consulter Sidi el Arafi, un voyant aveugle, pour qu'il leur donne conseil à propos des malheurs qui les frappent.

    Chapitre X
    Un garçon conduit les deux femmes et le narrateur dans un dédale sordide et sombre. Arrivés dans la chambre du voyant, la narrateur se met à épier l'homme et le lieu. Le panier du voyant rappelle à l'enfant sa Boite à Merveilles. L'homme demande à l'enfant de plonger sa main dans le panier et de saisir un objet sans le voir. Ce dernier obtempère et prend une boule de verre. Après un court rituel, le voyant conseille au narrateur de revenir toujours vers soi lorsque la solitude et le malheur l'assiègent.
    A son tour, Lalla aicha plonge la main dans le panier et en tire un coquillage. L'homme la réconforte en disant que le beau temps succède toujours à la pluie. La mère sort du panier une perle noire à dessins multicolores. Et le voyant de lui conseiller de visiter les sanctuaires de la ville qui lui accorderont leur protection.
    Après avoir glissé des pièces de monnaie dans la main du voyant, les deux femmes s'en vont. Le narrateur rayonne de joie. Soudain, il s'agrippe au haïk de sa mère, de crainte d'être vu par le fqih qui est passé dans la rue.
    Chemin faisant, la mère refuse de lui acheter une grenade qui n'est pas encore mûre ; aussi se met-il à pleurnicher. Lorsqu'ils reviennent à la maison, la mère cache aux voisines sa démarche auprès du voyant, de peur d'éventer les secrets de la famille.
    Pendant l'absence du père, le garçon n'ira pas au Msid, il tiendra compagnie à sa mère. Chaque semaine, la mère l'emmène prier dans un sanctuaire. Un matin, quelqu'un frappe à la porte ; il vient de la part du père absent. Il remet à la mère un pot de beurre, une douzaine d'œufs, une bouteille de l'huile et d'argent avant de s'en aller. Le narrateur et sa mère en sont très enchantés. La femme fait don d'une part des œufs aux voisines. Arrive Lalla aicha qui partage avec la famille sa joie et les six œufs restants.

    Chapitre XI
    Le jour suivant, la mère et le narrateur se rendent chez Lalla aicha. Ils la trouvent en train de mener une guerre acharnée contre les mouches. Parès que l'hotesse a préparé les ustensiles de thé, les deux femmes entament une longue conversation. Il ne se passe pas un long temps quand arriva Salama, une marieuse professionnelle.
    La marieuse commence par demander pardon à lalla aicha pour avoir arrangé le mariage de si Larbi avec la fille du coiffeur. Puis elle annonce le divorce imminent de ce dernier couple. Elle raconte comment l'homme l'a abodée dans un souk et lui a demandé de lui trouver une autre épouse. Au milieu du récit, le garçon descend au rez-de-chaussée afin de se soulager. Une voisine le remontre parce qu'il n'a pas fermé la porte des toilettes ; et l'enfant s'éclate en sanglots. Une dispute est sur le point de survenir sous l'intervention de Salama qui calme les femmes.
    La marieuse continue son récit, expliquant que les fantaisies de la jalousie de la fille du coiffeur, gâtée par sa mère. Le récit est interrompu par l'arrivée de Zhor, une voisine qui vient demander de la menthe ; elle reste pour siroter un verre de thé. La nouvelle arrivante confirme que le divorce en question ne tardera pas à avoir lieu à cause des folies de l'épouse. Après les quatre femmes partent en diatribes contre la famille du coiffeur.

    Chapitre XII
    Le narrateur admire les couplets entonnés par les femmes habitant dans la maison ; aussi rêve-t-il de composer une chanson. Il choisit le nom Zhor pour le mettre dans sa chanson. Cette femme hante les souvenirs du narrateur.
    Au milieu des chants, un garçon arrive. Le narrateur en éprouve une grande appréhension. Il s'agit de Allal El Yacoubi, son condisciple au msid. Il est envoyé par le fqih afin qu'il s'enquiert de l'état de santé du narrateur. La mère lui dit que l'enfant ne peut aller présentement à l'école coranique.
    Ce qui comble le garçon c'est la nouvelle annoncée par Zineb : le retour du Maalem Abdeslam. Le père rapporte avec lui deux poulets, des œufs, un pot de beurre, une bouteille de l'huile, un paquet d'olives et un morceau de galette paysanne en grosse semoule. Driss El aouad monte saluer le père. Il l'informe que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé hier. Au cours de la longue conversation entre les deux hommes, le narrateur prend sa boite à Merveille et se met à rêver.
    prof
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    ÊÇÑíÎ ÇáÊÓÌíá : 06/05/2007

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    ãõÓÇåãÉ  prof ÇáÓÈÊ ãÇíæ 19, 2007 12:03 pm

    merci boucooup pour le resume malgure qu'il n'a pas l'air d'un resume !!
    Ge plaisante ! merci C genti
    Very Happy
    avatar
    hinou.hicham


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    ÊÇÑíÎ ÇáÊÓÌíá : 25/12/2008

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    ãõÓÇåãÉ  hinou.hicham ÇáÓÈÊ ÏíÓãÈÑ 27, 2008 2:56 pm

    merci samah Very Happy

      ãæÇÖíÚ ããÇËáÉ

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      ÇáæÞÊ/ÇáÊÇÑíÎ ÇáÂä åæ ÇáÎãíÓ ãÇÑÓ 28, 2024 2:09 pm